«Votre rendez-vous est arrivé Monsieur Walker!» Avais dit à Brandon après avoir frapper doucement à la porte de son bureau avant d'y entrer avec un sourire aux lèvres. J'avais prit l'habitude de me déplacer au lieux d'utiliser cette technologie d'intercom pour l'aviser. Chose faite, je refermais la porte en avisant l'homme qu'il allait le recevoir d'ici quelques minutes. Je me dirigeais ensuite vers mon espace de travailé «Du calme jolie blonde, vous aviez une tâche!» M'avait lancé un des partenaire de Monsieur Walker alors que je venais de passer près de lui après avoir été aviser mon patron de sa présence. Je vous explique, il avait tout bêtement reluquer mon fessier et avait oser aventurer sa main dessus pour une petite caresse. Vous aurez donc deviner que ma main était partie toute seule pour venir s’étamper contre la joue de celui-ci. «Hallucination, lavé vos lunettes mon cher.» Avais-je répondue le visage neutre et les yeux fixer droit dans les siens ne me laissant pas rabaisser à un simple niveau de poule de luxe comme j'étais avant. «Désolé, c'était juste tentant. Cela restera entre vous et moi!» Avait-il répliqué aussitôt voyant que j'avais beau être une secrétaire blonde et un corps de rêve que je n'étais pas de celle qu'on réussissait à toucher facilement. Je roulais brièvement les yeux par sa réponse complètement stupide. «Vos mains, vous les gardez pour votre femme» Ajoutais-je pour lui faire savoir que je n'hésiterais pas pour une seconde gifle s'il osait essayer une nouvelle fois ce genre de geste déplacé. Puis, je reprenais ma marche jusqu'à mon bureau et m'y installait sagement pour reprendre ou j'avais laisser avant l'arrivé de cet idiot.

Je grimaçais subtilement quand la main de Brandon se posait sur le postérieur de l'homme car ce n'était pas un des plus beaux mecs. Et disons que je ne m'aurais pas attendu à un tel geste venant de mon patron et qu'il venait de me surprendre. Si j'aurais été entrain de boire, je crois que j'aurais tout recracher. Mais j'avoue que de voir la tête de l'homme face à ce geste valait cher et qu'un léger sourire s'affichait aux coins de mes lèvres. Puis j'écoutais ce que Brandon me disait avec une attention particulière et il avait parfaitement raison. Mais ce que je ne comprenais pas, c'était pourquoi l'homme avait oser penser que j'allais être une fille facile. Je n'avais pas une démarche provocante et je ne lui avais laisser aucun signe avant coureur. «D'accord ! Et tu sais parfaitement que ce n'est pas mon but de vous donner une mauvaise image...» Répondais-je en souriant pour confirmer mes paroles. Parfois, j'avais l'impression de ne pas avoir quitter ce passé avec l'agissement de certains hommes. Bref, je me levais avec des papiers et les tandis à Monsieur Walker. «Le courrier de la journée. Des factures, d'autres offres de partenariat et des publicités...» Puis, je laissais un léger rire moqueur se faire entendre. Il m'arrivait parfois de lui faire quelques mauvais coup innocent comme celui de lui donner du courrier qu'il n'avait rien à foutre. C'était juste pour voir un sourire venant de lui pour autre chose que le boulot. Et puis, avouée qu'il à un sourire à faire rêver plus d'une ! «Il a des chaussures pour homme très bien qui irait à merveille avec vos uniforme!» Ajoutais-je d'un air des plus sérieux qui soit. Avant d'enchainer : «Plus sérieusement, je vous promet que si une situation senblable se reproduit, j'irais vous voir immédiatement!»

«C'est avec plaisir que j’accepte. Vous voulez que je téléphone pour réserver une table avant que nous partons?» Lui répondais-je en lui demandant comme toute bonne secrétaire personnelle l'aurait fait. Puis je me tournais dos à lui pour me pencher au dessus de mon bureau pour venir attraper le téléphone et composer le code d'accès pour activer la messagerie vocale. Il était hors de question que j'oublie un tel détail. Sauf que je n'avais pas pensé qu'en me positionnant de la sorte, mon patron avait une pleine vue sur mon postérieur. Et par chance, je portais un pantalon noir propre et non une jupe. Bon, le pantalon moulait encore plus les formes de mon corps, mais chut ! Ensuite, je me retournais rapidement pour avoir sa réponse et ajouter : «Je n'aies aucun doute sur le fait que vous serez sage... si vous aurez voulu tenter quelque chose, je crois que ce serait déjà fait!» Disais-je en lui souriant et en contournant mon bureau pour aller prendre mon sac à main poser sous celui-ci. Je pliais les genoux pour me pencher et l'attrapais. Puis, je me relevais et venais rejoindre Brandon pour que nous puissions nous rendre dans un restaurant. Si seulement je savais tout ce qu'il avait fait pour s'assurer que je sois toujours disponible et pour s'assurer de m'avoir a ses côté... Je crois que je le prendrais très mal et que je voudrais l'assommer. Enfin, je ne sais pas trop comment je pourrais réagir. Puisque je serais en mesure de réfléchir et de me dire qu'il ne fait que me protéger et que c'est peut-être pour cette raison si les membres des gangs ne sont pas revenu à la charge... C'était pour cette raison que j'avais quitter ma ville avec Julian. Bon, je m'éloigne du moment présent. «Je suis prête mon cher Monsieur Walker!» Lançais-je en venant délicatement mettre ma main contre son bras comme l'aurait fait une femme accompagnée de son copain. Sauf que je l'avais fait avec un léger rire pour rendre le geste plus humoristique que sérieux. Mais je retirais rapidement ma main de son bras et j'attrapais la poignée de la porte pour l'ouvrir.

«Il est à l'autre bout de la ville pour toute la journée... Alors, ce sera pour une autre fois!» Répondais-je quand il me proposait d'inviter mon copain à ce joindre à nous pour le dîner. Puis je ne répliquais rien d'autre qu'un haussement d'épaule quand il me dit qu'il ne parierais pas ma maison la dessus. Je dois dire que cette réponses me donnait une claque en plein visage sans le savoir. C'était une sorte de message subtile qu'il venait de me lancer et moi tout ce que je trouvais à faire c'était jouer celle qui n'avait rien comprit. Mais bon, c'était mon patron, j'avais un copain... pas aussi riche que lui, mais quand même. Bref, nous avions fini par sortir et nous rendre jusqu'à l'ascenseur et y embarquer. Si seulement tout ce serait déroulé comme à chaque jour ou je la prends.... Mais non, il fallait qu'elle tombe en panne en plein milieu de notre descente. Je portais une attention particulière au panneau qui affichait les étages et ensuite vers Brandon qui s'excusait pour ce contretemps. Je restais silencieuse et après quelques secondes de réflexion réalisant la situation dans laquelle je me trouvait. Puis je commençais à jouer avec une mèche de mes cheveux en signe de stress. «Merde!... » Murmurais-je en me souvenant que je n'étais pas seule et surtout avec mon patron. Yeah, maintenant il me verrait comme une véritable peureuse. *ouais, prise dans un ascenseur avec un mec super mignon. Comme si c'était pas déjà assez compliquer chaque jour* Pensais-je pour finir ma phrase avant de me retenir pour ne pas donner un coup de pied contre le mur. Au lieux de cela, j'accotais mon dos contre une parois et je lâchais un gros soupir avec de me mettre à rire. «J'ai jamais apprécier les ascenseur...» Disais-je en fouillant dans mon sac et en me résignant me souvenant qu'il était totalement interdit de fumer à l'intérieur. *merde, fait chier* «Il faut que je me calme...oui, respire par le nez Jessi!» Me parlais-je pour moi-même en évitant tout contact des yeux avec ceux de Brandon.

«Je te crois...» Murmurais-je l'ayant laisser passer ses bras autour de moi qui se voulait réconfortant. Sans trop prendre le temps de réfléchir, je laissais ma tête se poser sur lui dans un petit soupir de soulagement et de bien être. Petit signe que je n'étais pas insensible à lui et encore moins au fait qu'il n'aurait pas reçu le même traitement que l'homme s'il avait continué son geste un peu plus tôt en direction de mon fessier. Bref, tout cela pour vous dire que j'avais un faible pour mon patron et que jusqu'ici, je n'avais rien laissé paraître ou peut. Puisqu'au fond de moi, je faisais un minimum exprès pour attirer son regard et ça avait peut-être fonctionné.«Les rides c'est pour les vieilles...» Parvenais-je à dire le regard légèrement perdu dans le sien ayant perdu toute notion du temps. Il était trop près et son odeur m'envahissait. Je devais rester moi-même, la secrétaire indifférente et professionnel que j'étais depuis le début de mon embauche. «Vous aviez raison de ne pas parier votre maison...» Disais-je après un court instant de silence réalisant que ses paroles avaient peut-être un double sens. À savoir qu'elle pouvoir être un signe de ''tout ira bien, je vais pas faire le con'' ou ''nous serons rapidement sorti d'ici en vie'' ou bien un mélange des deux... Pendant que je semblais perdu dans mes pensées, mes mains c'étaient poser contre sa taille et la gauche avait en quelque sorte agripper son chandail pour le tenir fermement. Comme si je ne voulais pas qu'il prenne la fuite... «Tu aurais raison de renvoyer cet idiot... il est incompétent!» Lançais-je pour mettre fin à ce silence qui commençait à vachement me gêner, surtout le visage toujours près du sien...

«Oh!» Était le seul son qui sortait de ma bouche quand je sentis ses mains attraper mes fesses. Probablement que j'aurais due lui balancer une gifle pour lui remettre les idées en place, mais mes mains n'en avaient pas la force ni l'envie. Que voulez-vous, j'avais un faible pour mon patron et ce côté relation interdite qui pourrait mal se terminer. Mais jamais je ne porterais plainte pour harcèlement envers celui-ci. J'avais envie depuis trop longtemps de me retrouver dans ses bras muscler que je serais folle de ne pas profiter un minimum d'un tel moment. «mauvaise.. très mauvais idée de s’aventurer dans cette direction...» Répondais-je simplement à ses paroles. Cela signifiait surtout que je n'irais pas jusqu'au bout étant en couple, mais que mon envie était présente malgré le fait que je pouvais paraitre zen. «et vous recommencez a me vouvoyer...» Ajoutais-je d'une voix des plus douce tout en lui adressant un magnifique sourire réalisant que je venais moi-même de le faire une nouvelle fois. Puis comme pour éviter une réponse qui me le ferait remarquer, je venais déposer mes lèvres contre les siennes avec délicatesse. C'était plus un geste pour me rapprocher que pour l'embrasser à pleine bouche comme l'aurait fait les autres femmes qui lui courent au cul. Non, moi je voulais tout simplement sentir ce léger contact sans trop en recevoir étant quand même déjà en couple avec un autre. Je venais à peine pincer mes lèvres ensemble pour visiblement me retenir de faire autre chose que juste coller nos lèvres ensemble. Mais dans ce même geste, je fermais les yeux et me laissais finalement aller pour venir l'embrasser...

«Pff, comme si tu ne savais pas que t'es un joli mec!» M'exclamais-je suite à sa phrase concernant la surprise. Comme s'il ne savait pas qu'il était mignon et qu'il pouvait faire craquer toutes celles qu'il voudrait. Pourquoi cette ascenseur avait décidé de tomber en panne en sa compagnie et pas quand j'étais seule avec moi-même? Peut-être était-ce un signe du destin qui voulait que nous arrêtons de nous cacher derrière nos envies. Puis j'étais coupé de tout ce qui me passait par le crâne en le voyant se dévêtir le haut du corps. J'avalais ma salive avant de me mettre à baver devant ce corps de rêve. «Hey, t'es pire qu'une tentation là!» Lançais-je les yeux dans les siens essayant de ne pas me laisser tenter par l'observation d'autre chose que son visage. Puis arrivant pour serrer mes mains ou je les avaient plus tôt en tenant son chandail, j'effleurais légèrement sa peau en me prenant un frisson de plein fouet. Et je laissais mes deux bras tomber le long de mon corps et roulant les yeux et arrêtant une fraction de seconde mon regard sur ses jolis muscles. «Ouff...fait chaud, mais je ne suivrais pas ton exemple... ce serait jouer encore plus avec le feu et surtout avec mon niveau de fidélité...» Murmurais-je pour moi-même en faisant tout de même un pas vers lui pour me retrouver une nouvelle fois très près. «un petit dernier...» Disais-je en cherchant ou foutre mes deux mains sans risquer de provoquer trop chose, mais en ayant marre de chercher, je les posais contre ses biceps. Que je serrais un peu profitant de ce toucher pour voir si c'était du vrai (joke xD). Puia je venais une nouvelle fois presser mes lèves contre les siennes, mais avec une touche de fougue que je n'avais pas eue la fois d'avant. Et là, malheur... mes mains remontait jusqu'à ses épaules pour venir terminer leurs chemin contre son torse...

Ce fut lui qui franchissait cette limite qui était d'être plus insistant dans ses actions en venant défaire les boutons de mon chemisier. Mes lèvres touchaient toujours aux siennes comme si c'était devenu impensable que je ne m'en sépares trop longtemps. Pourtant, je savais que c'était mal et que je devais savoir me contrôler et arrêter. «Il faut vraiment qu'on arrête... c'est pas une bonne idée!» Murmurais-je très faiblement entre deux baisers alors que ma chemise glissait pour rejoindre le sol laissant une vue sur mon soutif super sexy rouge. Mes mains retournaient se poser contre son torse. Endroit qu'elles quittaient rapidement pour aller enlacer son cou pour le coller contre mon corps un peu plus. Je voulais sentir nos corps l'un contre l'autre un peu. «Mais j'en aies vachement envie...» Disais-je en essayant de reprendre sur moi et en y arrivant presque. Je relâchais mon étreinte pour faire glisser mes doigts jusqu'à son ventre et doucement venir le repousser. Je me devais d'être fidèle envers mon petit copain et croyez moi, c'était la première fois ou j'avais un mal fou à résister à un homme. «je peux pas Brandon... même si c'est super évident que j'en aies envie...» Ajoutais-je en faisant un pas vers l'arrière pour me retrouver le dos collé contre la parois de l'ascenseur. Tout en me mordant la lèvre supérieur de façon sexy. Puis...«Euh... merde!» M'exclamais-je en sentant l'ascenseur bouger. Soit nous allions nous écraser au fond de celle-ci ou... Bon ok, des gens devaient être rapidement venu puisqu'ils ne voulaient pas perdre leur emploie en laissant leur patron moisir des heures dans cette espace restreint.